Autre point soulevé par l’étude : les souris femelles étaient plus sensibles au stress que les mâles. Les chercheurs suggèrent une implication des œstrogènes et des récepteurs du stress, potentiellement plus actifs chez les femelles.
Cela pourrait signifier que les femmes obèses et soumises à un stress chronique présentent un risque accru – ce qui appelle à une vigilance particulière.
Des actions concrètes pour réduire le risque
La bonne nouvelle ? Ces recherches ouvrent la voie à des pistes thérapeutiques ciblées. Des traitements agissant sur la protéine CREB ou les récepteurs du stress sont à l’étude.
En attendant, voici quelques gestes simples à adopter pour limiter les risques :
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