Douze années après les faits, le médecin a dû répondre de ses actes pour « homicide involontaire » devant les tribunaux. Durant les audiences, il a exprimé ses remords et reconnu ses choix inappropriés ce jour-là.
Pour les parents, la blessure reste béante. Cette affaire a ému de nombreux citoyens, qui espèrent que la justice reconnaîtra leur souffrance et plaident pour une meilleure attention médicale envers les jeunes patients les plus fragiles.
Le conseil à retenir pour tous les parents ? Faites toujours confiance à votre intuition parentale. Si l’état de votre enfant vous inquiète ou s’il empire après une première consultation, n’hésitez jamais à retourner consulter. Parfois, cette persistance peut tout changer.