Dans ses rares déclarations, elle affirme ne pas vouloir d’aide extérieure, déclarant qu’elle se suffit à elle-même. Un discours que l’on retrouve souvent chez ceux qui, par fierté ou peur, préfèrent refuser l’aide plutôt que de montrer leurs failles.
Ce que son histoire nous apprend
Le cas de Loni n’est pas isolé. Il met en lumière un phénomène trop fréquent : comment certaines épreuves – ruptures, pressions médiatiques, solitude – peuvent mener à une perte de repères totale. Pourtant, derrière chaque chute se cache souvent une possibilité de renaissance.
De nombreuses associations françaises proposent un accompagnement bienveillant pour celles et ceux en difficulté. Psychologues, assistants sociaux, centres de réinsertion… Il existe des solutions, à condition de faire le premier pas, aussi modeste soit-il.
Et si on tendait la main, plutôt que de détourner le regard ?
Au lieu de commenter ou de juger, pourquoi ne pas se demander : que puis-je faire pour aider ? Un simple sourire, un mot gentil, une orientation vers un service social… Ces petits gestes peuvent, parfois, enclencher de grands changements.