Une confrontation marquante… et libératrice
Le jour de la réunion, j’ai pris la parole. J’ai raconté chaque scène. Montré les vidéos. Décrit les surnoms humiliants. La classe entière était figée. Les harceleurs, eux, gardaient le silence.
Je leur ai dit, calmement : « Vous vous croyez forts ? Ce que vous faites, c’est de la lâcheté. Et maintenant, c’est vous qu’on regarde. » Le directeur a rappelé les règles de respect et d’empathie. Et ce jour-là, quelque chose a changé.
Depuis ? Plus aucun incident. Thomas va mieux. Il relève la tête. Et moi, je suis soulagé d’avoir agi.