Ma voisine n’arrêtait pas d’étendre ses culottes juste devant la fenêtre de mon fils. Alors je lui ai donné une bonne leçon.

Ah, les joies de la vie en banlieue ! Le calme, les barbecues… et parfois, des voisins un peu trop libres dans leurs habitudes. Pour Laurence, maman attentionnée d’un petit garçon de 8 ans, tout se passait paisiblement dans son nouveau quartier. Jusqu’au jour où Julie Martin, une voisine fantaisiste, décida de faire sécher ses dessous les plus voyants… juste devant la fenêtre de la chambre de Hugo.
Le string rose et l’éveil (précoce) des curiosités enfantines

Tout a commencé un mardi, jour de lessive et de slips de super-héros. Laurence, en train de plier le linge, lève les yeux et tombe nez à nez ou plutôt, fenêtre contre dentelle avec une série de sous-vêtements en tous genres. Culottes en dentelle, strings couleur bonbon, pièces si légères qu’on aurait cru des accessoires de poupée… sauf qu’elles flottaient fièrement devant la chambre de Hugo.

« Maman, c’est quoi ce truc rose ? Un lance-pierre ? » demande innocemment l’enfant. Gênée mais amusée, Laurence tente de détourner la conversation, mais la curiosité croissante de son fils la pousse à envisager une solution… plus durable.

Quand la patience a ses limites (et que l’humour prend le relais)

Les jours passent, les strings poursuivent leur ballet matinal. Laurence tente la diplomatie. Elle sonne chez Julie, lui explique poliment que ses dessous voyants perturbent l’innocence de Hugo. Mais Julie Martin, sourire provocateur aux lèvres, ne voit pas le problème. « C’est juste du linge ! Apprends-lui la vraie vie ! » rétorque-t-elle, condescendante, avant de lui suggérer de repenser ses priorités.

C’en est trop.

La revanche du flamant rose géant

Déterminée à lui rendre la monnaie de sa pièce, Laurence sort sa machine à coudre et laisse libre cours à son imagination. Résultat ? Une culotte XXL en tissu rose vif avec un motif de flamants roses, si énorme qu’on aurait pu l’utiliser comme décoration de kermesse.

Et voilà que cette pièce maîtresse est accrochée, en grand format, pile devant la fenêtre de Julie.

La réaction ne se fait pas attendre. Julie, rentrant des courses, découvre ce monument textile et explose. « C’est un parachute ? Une tente ? » hurle-t-elle. Laurence, hilare, feint l’innocence : « Je fais comme toi. J’étends ma lessive. »

Une paix… et une leçon bien méritée

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