Ce traité pourrait ainsi réduire l’autonomie des États en matière de santé, en transférant certaines compétences à une organisation supranationale. Le député questionne la légitimité d’une telle évolution et s’interroge sur le fait que l’OMS puisse aller à l’encontre de sa propre constitution en restreignant les pouvoirs des gouvernements nationaux.
Cette intervention au Parlement européen met en lumière des préoccupations majeures concernant la transparence des institutions, la gestion de la pandémie et le respect des libertés fondamentales. Autant de questions qui restent en suspens et qui méritent un débat approfondi.