En octobre 2021, une émission spéciale diffusée sur Radio Courtoisie donnait la parole à ceux que l’on n’entendait presque jamais dans le débat public : victimes présumées des effets secondaires graves des vaccins contre le Covid-19, leurs proches, ainsi que des médecins en première ligne. Pendant près de deux heures, les témoignages se sont succédé, bruts, poignants, souvent glaçants, dessinant un tableau d’ensemble ignoré ou minimisé par les autorités sanitaires et les médias traditionnels. Le ton était grave, direct, mais sans outrance. Une volonté claire d’alerter, d’informer, et surtout de briser un silence pesant.
Dès l’introduction, la présentatrice rappelle que cette émission ne remet pas en question la vaccination dans son principe, notamment dans sa forme classique à la Pasteur. Mais elle souligne une réalité essentielle : les vaccins anti-Covid reposent sur une technologie inédite, l’ARN messager, qui induit la production d’une protéine appelée spike, et ce mécanisme nouveau justifie une extrême prudence. Le cœur du problème est celui de la balance bénéfice-risque, particulièrement pour les jeunes. Or, cette balance, martèle-t-elle, « n’est jamais discutée publiquement ».