6 choses qui changent quand tu perds tes parents

Quand les repères s’effacent, comment se recentrer ?

Papa ou maman étaient peut-être les meilleurs conseillers du monde. Leurs mots, leurs encouragements, leurs petits gestes rassurants… leur absence peut nous laisser désemparé(e), comme une boussole sans nord. C’est dans ces moments que revisiter les souvenirs devient essentiel. Fermez les yeux, repensez à une phrase qu’ils disaient souvent, à une habitude familière… Ces traces forment une boussole intérieure, toujours disponible.

L’énergie en berne : un signal à écouter, pas à craindre

La perte d’un parent, c’est aussi une fatigue profonde, une envie de tout ralentir. Et c’est parfaitement normal. Le corps et le cœur demandent une pause. Ne culpabilisez pas de vouloir rester au lit ou de refuser des sorties. Prenez soin de vous à votre rythme, sans pression. Rappelez-vous : vos parents vous ont appris à vivre, et vivre, parfois, c’est aussi s’accorder du répit.

On ne tourne jamais la page, et c’est très bien ainsi

On dit souvent qu’on ne “se remet jamais” de la disparition d’un parent. C’est vrai, dans le sens où le manque reste. Mais ce n’est pas une fatalité. C’est une marque d’amour, une empreinte qui devient un moteur. Le plus bel hommage ? Continuer à créer, à rire, à aimer… avec leur voix douce en fond sonore, comme une chanson douce qu’on garde en soi.

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